La Public Patent Foundation (PubPat), qui depuis quelques années lutte contre les brevets les plus « aberrants » en les contestant devant les tribunaux, se réjouit de cette « victoire pour la libre circulation des idées dans la recherche scientifique ». Elle s’était associée pour ce procès à l’American Civil Liberties Union (ACLU), et représentait deux associations pour la recherche médicale. Si le juge Sweet a écarté certains des arguments économiques des plaignants, ses considérations écrites rappellent avec force qu’on ne saurait breveter les « produits de la nature ». Myriad Genetics a déjà annoncé son intention de faire appel.
Source: monde-diplomatique.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire