mercredi 25 janvier 2012

La Terre frappée par la plus grande éruption solaire depuis 2005

L'activité des satellites, des communications et des réseaux électriques terrestres pourrait être perturbée à la suite de la plus intense éruption solaire en plus de six ans survenue dimanche.
 

Le physicien Doug Biesecker, de la National Oceanic Administration's Space Weather Prediction Centre des États-Unis, explique que les radiations représentent surtout un problème pour les satellites et les astronautes qui sont en orbite terrestre. De plus, elles peuvent causer des problèmes de communication aux avions qui voyagent autour de la ligne polaire.


La radiation provenant de l'éruption de dimanche a atteint la Terre une heure plus tard et se poursuivra vraisemblablement jusqu'à mercredi. Les niveaux de radiation sont considérés comme élevés, mais d'autres tempêtes ont été plus graves. Toutefois, cette tempête est la plus importante depuis mai 2005.


En juin 2011, une tempête de force moyenne (M-2) avec une éjection de masse coronale visuellement spectaculaire avait frappé la Terre.


Cette fois-ci, la radiation, qui prend la forme de protons, s'est échappée du soleil à 150 millions de kilomètres à l'heure.


Un porte-parole de la NASA, Rob Navias, a indiqué que les experts de la NASA ont étudié la question et ont décidé qu'aucune mesure ne devait être prise par les six astronautes de la Station spatiale internationale pour se protéger.


Les experts s'attendent à ce qu'un grand nombre de particules soient captées par le champ magnétique créent de superbes aurores boréales.

En 1989, une « petite » tempête solaire avait plongé le Québec dans le noir pendant neuf heures lorsque le système d'Hydro-Québec a flanché. À cette époque, la société n'était pas aussi dépendante qu'aujourd'hui des nouvelles technologies, ce qui amène les spécialistes à s'alarmer d'une potentielle tempête solaire majeure.



Le saviez-vous?La météorologie solaire s'est beaucoup améliorée depuis quelques années. L'année dernière, des chercheurs américains annonçaient qu'il est maintenant possible de détecter les taches sur le Soleil de 24 à 48 heures avant leur apparition.


Voici un extrait vidéo montrant l'éruption:


[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Kw5AQUok8pQ[/youtube]

dimanche 22 janvier 2012

Pour le retour de megaupload, nous soutenons l'action des anonymous

« Que la guerre commence »




Après la fermeture du site de streaming "MegaUpload" jeudi soir, le site du FBI américain ainsi que le site de l'Elysée ont été pris à partie par Anonymous. Dans un message audio posté sur le web, Anonymous exige la ré-ouverture de MegaUpload dans les 72 heures ou ils s'attaqueront et mettront hors-ligne Facebook, Twitter, Youtube, PlayStation NetWork, Xbox Live mais aussi certaines banques américaines ou encore l’ONU.

 

Les hackers ont déjà fait savoir qu'ils possédent déjà des informations confidentielles pour neutraliser ces sites et menacent d'attaquer aussi des stars comme Lady Gaga ou Justin Bieber

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Y5JNxM37USY[/youtube]

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=FmCBfOjtVVA[/youtube]
Traduction en quelques mots :

Suite à la fermeture de MégaUpload, une ligne a été franchi par le gouvernement Américain et ceux du monde entier: celle de la censure.

Et c'est inaceptable !
Les Anonymous exigent le rétablissement de MegaUpload dans 72 heures sinon ils rendront inaccessible différents sites web et services comme le PlayStation NetWork et le Xbox Live mais aussi certaines banques américaines, l'ONU, Twitter, Facebook et YouTube !

Ils précisent qu'ils ont déjà infiltré ces serveurs et ajoutent qu'ils possèdent déjà des informations confidentielles (mais ils ne compromettront pas leurs données).
Bien sur, rien ne prouve qu'ils passeront à l'action mais ils en seraient tout à fait capable puisqu'ils ont déjà hacké de grands groupes.


Aujourd'hui marque la plus vaste opération de Cyber-attaque avec plus de 5000 pirates informatique mobilisés ! Les sites de L'Elysée, du FBI, de la justice américaine, du gouvernement du District Fédéral (DF, Brasilia) et d'une chanteuse brésilienne,... ont été attaqué !


Vous aussi mobilisez vous contre cette atteinte à la vie privée !

Le canon orbital à ions : Arme des Anonymous


Le LOICpour Low Orbit Ion Canon (Canon à ions en orbite basse) est en fait un dispositif dont le principe est d’asservir la machine cible afin d’en faire un robot qui va surcharger en requêtes le serveur cible.

Vous avez bien compris, les Anonymous (par le biais de leur Twitter dernièrement en réponse à la fermeture de MegaUpload) entre autres, envoient des liens à la communauté afin de convertir les ordinateurs des utilisateurs en véritables Botnet qui enverront de manière autonome de simples, mais dévastatrices attaques DDoS aux visés par les foudres du collectif d’hacktivistes.

Le LOIC fera donc générer à votre ordinateur des requêtes TCP, UDP et HTTP qui, si elles ne sont pas très graves pour un serveur à l’échelle d’un utilisateur (les serveurs pouvant bloquer l’adresse IP dès que ce type d’activité est détecté), les choses se gâtent très vite lorsqu’il s’agit de centaines de milliers d’ordinateurs qui envoient des centaines de milliers de requêtes en même temps vers le même serveur.

Ce type d’attaques est l’une des plus basiques et des plus pratiquées par les hackers et autres « script kiddies » afin de non seulement faire tomber un serveur, mais aussi de prendre le contrôle de ce dernier et de s’y introduire.

En définitive, en cliquant sur les liens d’Anonymous, les utilisateurs participent à leur insu (ou en pleine connaissance de cause) à des attaques envers les différents sites cibles des Hacktivistes.

Rappelons que quelles que soient les convictions des internautes, ce type d’attaque est illégal et puni par la loi d’une majorité de pays (sauf la Chine entre autres).

Pour autant, ce logiciel et d'autres pourraient devenir un moyen d'action pour les citoyens qui voudraient « entrer en résistance » face à un pouvoir qui abuserait de sa force pour imposer des lois arbitraires et attentatoires à la liberté. Aujourd'hui l'utilisation de LOIC est illégale en France si l'on s'en sert pour attaquer des serveurs en déni de service, tout comme l'était l'utilisation des armes par les maquisards qui, il y a 70 ans, se sont légitimement révoltés face au pouvoir de Vichy et à l'occupation allemande. La preuve est désormais faite qu'aucun site web n'est invulnérable, même les sites officiels de la première puissance mondiale.

Télécharger LOIC: http://sourceforge.net/projects/loic/


Fonctionnement de LOIC


Source: journaldugeek.com - zdnet.fr

vendredi 20 janvier 2012

Fermeture de Megaupload: Anonymous attaque les sites du FBI, d'Universal et d'Hadopi

TÉLÉCHARGEMENT - Le collectif s'en est pris à de nombreux sites, inaccessibles ou fortement ralentis pendant plusieurs heures dans la nuit de jeudi à vendredi...




Dernière info (7h23): Les sites du FBI, du département de la Justice et d'Universal Music sont de retour en ligne.


C'est la World War Web! Le collectif Anonymous n'a pas mis longtemps à réagir à l'annonce de la fermeture du site de téléchargement Megaupload par le FBI. Dans les minutes qui ont suivi, ses membres ont lancé l'opération #OpMegaUpload, jeudi soir.

Les sites d'Universal Music, de la justice américaine et de l'industrie US du disque (RIAA) et du cinéma (MPAA) et d'hadopi.fr sont restés inaccessibles ou très ralentis, noyés sous les requêtes de connexions, pendant plusieurs heures. Plusieurs pages Wikipédia (d'Hadopi, notamment), ont été détournées.


 

Selon Anonymous, plus de 5.000 internautes ont participé à l'opération grâce au logiciel LOIC, qui permet de mettre à disposition sa machine pour mener automatiquement des attaques en déni de service –une activité illégale. Selon CNN, l'attaque contre la site du département de la Justice a mobilisé 27.000 ordinateurs (certains peuvent sans le savoir être infectés par un ver et faire partie d'un «botnet», un réseau de machines zombies contrôlé par un hacker). Selon Gawker, de simples internautes qui ont eu le malheur de cliquer sur un lien infecté ouvrant une version Web du logiciel LOIC, ont également participé involontairement aux attaques.

 

Le département de la Justice n'a pas confirmé l'attaque mais a tweeté: «Le site justice.gov connait une importante hausse du trafic et une dégradation du service» Celui du FBI est resté environ une heure inaccessible avant de revenir à la normale.

 

Un jeu risqué


Anonymous n'en est pas à son coup d'essai. Lors de la condamnation du site Pirate Bay, en 2009, ils avaient déjà pris pour cible les sites des ayants droits de la musique et du cinéma. L'an dernier, ils avaient, en compagnie des agitateurs de LulzSec, attaqué les sites de Mastercard, Visa et Paypal en soutien à WikiLeaks, dont les comptes avaient été gelés.

Plusieurs internautes ont ensuite été arrêtés par les autorités, notamment en Espagne, aux Pays-Bas et aux Etats-Unis. L'été dernier, le numéro 2 présumé de LulzSec, Topiary, a été arrêté aux îles Shetlands. Le leader, Sabu, continue en revanche d'échapper aux forces de l'ordre.Anonymous avertit d'ailleurs ses membres sur Twitter, lâchant: «Rappelez-vous, utiliser LOIC, c'est comme le sexe, il faut une protection».


Source: 20minutes.fr

samedi 14 janvier 2012

La magie de l'impression 3D à l'assaut du grand public ‎

HIGH-TECH - La technologie devient enfin abordable, et de véritables écosystèmes sont en train de naître...



De notre envoyé spécial à Las Vegas


Regarder une imprimante 3D travailler a quelque chose de fascinant. On a presque l'illusion que l'objet sort du néant. En fait, du plastique ou du métal liquides sont étalés, couche après couche, par la tête d'impression, inlassablement, pendant environ 1 heure, en suivant scrupuleusement les plans d'un modèle virtuel conçu sur ordinateur. Si la technologie, largement employée dans l'industrie, existe depuis plus de 20 ans, elle veut aujourd'hui séduire le grand public, des enfants aux designers en herbe.

Dans les allées du CES de Las Vegas, l'un des champions s'appelle 3D Systems, une entreprise qui existe depuis plus de 25 ans. Dans les prochaines semaines, elle va lancer (en France y compris) son imprimante Cubify, commercialisée à 1299 dollars (1000 euros). Avec sa bouille d'adorable machine à coudre, elle «imprime» des objets monochromes. Dix couleurs sont disponibles et les cartouches de plastique ABS (utilisé dans les Lego) peuvent être interchangées. Chaque recharge coûte 49,99 dollars (38 euros). Figurines, pions, bracelets... Avec une cartouche, on peut imprimer une quinzaine de pièces de la taille d'une grosse tour d'échecs.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=gk2PcKK9uDs&hd=1[/youtube]

Un marché sur le modèle de l'app store d'Apple

De nombreux outils de modélisation 3D existent (dont Sketchup, de Google, gratuit). Mais comme le rappelle Cathy Lewis, vice-présidente de 3D Systems en charge du marketing, «tout le monde n'a pas la patience ou les compétences» pour maîtriser un tel logiciel. Du coup, il est également possible de parcourir un catalogue d'objets 3D et de simplement customiser son choix (taille, couleur).

On compte déjà plus de 500 créations, vendues de quelques dollars pour des pions jusqu'à 999 dollars pour une paire de sandales. On trouve, en vrac: un modèle réduit d'Audi A3, un hélicoptère ou encore une tour Eiffel. A l'image de ce qui existe chez Apple, les artistes touchent 60% et 3D Systems 30% (10% de taxes).

Kinect pour scanner en 3D

Pour des modèles plus complexes, résistants ou multicolores, il est possible de commander une impression via le service de «cloud printing». La pièce est alors créée sur des machines professionnelles dans des centres de l'entreprise, puis livrée au domicile du client. Dans le cas de structures compliquées, cela fonctionne en général avec un bac de poudre qu'un laser fait fondre puis solidifie couche à couche.

La magie ne s'arrête pas là. Grâce aux caméras de Kinect, de Microsoft, il est possible de scanner un objet pour en obtenir un modèle en 2.5 D (sans l'arrière). Suffisant pour imprimer un autoportrait quasi complet et offrir un joli cadeau pour la fête des mères.

Makerbot, le concurrent open

Makerbot propose un concept similaire (imprimante grand-public à 1300 euros). Mais la différence principale, c'est que toutes les créations 3D sont gratuites, sur le modèle de la licence Creative Commons. Ils se téléchargent sur le site Thingiverse.com.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=euZivv8ySyA&hd=1[/youtube]

Machine à répliquer


C'est le rêve de la science-fiction: la possibilité de répliquer des objets à l'identique. La vidéo ci-dessous de National Geographic est spectaculaire mais légèrement trompeuse: la clé à molette est bien scannée mais la copie est, a priori, imprimée depuis un modèle virtuel détaillé de clé fonctionnelle.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=pQHnMj6dxj4&hd=1[/youtube]

On peut aller plus loin. Selon le Bre Pettis, fondateur de Makerbot, les imprimantes 3D sont presque capables d'imprimer chaque pièce qui les compose. Capable de s'auto-répliquer, donc.

Source: 20minutes.fr

jeudi 12 janvier 2012

Des hackers veulent lancer leurs propres satellites

Pour contourner la censure sur Internet, les hackers du Chaos Computer Club ont une idée : utiliser leurs propres satellites de télécommunications pour une sorte d'Internet privé. Sur leur lancée, ces spécialistes informatiques se verraient bien sur la Lune.

Chaque année depuis 1984, le groupe de hackers Chaos Computer Club (ou CCC pour les intimes) organise en Allemagne une grand-messe où se retrouve la fine fleur du milieu. Il ne s’agit pas des cyberpirates auxquels on donne souvent, et à tort, le nom de hackers, mais de spécialistes informatiques qui militent pour la liberté de l'information et de la communication.

À l’occasion du Chaos Communication Congress qui s’est tenu à Berlin en décembre dernier, un nouveau projet a été présenté par un groupe de hackers qui veulent lutter contre la censure sur Internet en bâtissant leur propre système de communication basé sur un réseau de satellites amateurs. Le projet qui se nomme Hackerspace Global Grid a l’ambition de créer un « Internet incensurable dans l’espace » selon les termes de Nick Farr, l’un des initiateurs de ce défi. D'après BBC News qui a couvert cette conférence, l’idée est de bâtir un réseau distribué de récepteurs terrestres qui communiqueront avec des satellites amateurs en orbite basse.

Des récepteurs de satellites à 100 euros

D’où l’idée de se servir d’un groupement de récepteurs terrestres abordables qui seraient achetés par les particuliers. Mis en réseau, ils pourront localiser les satellites en permanence. « C’est une sorte de GPS inversé, explique Armin Bauer, un hacker de 26 ans qui participe au Hackerspace Global Grid. Le GPS utilise des satellites pour calculer notre position, et cela nous indique où sont les satellites. Nous pourrions utiliser ses coordonnées, mais aussi les améliorer en utilisant des sites fixes dans des endroits précisément connus » poursuit-il.

L’objectif du groupe de hackers est de mettre en service au moins trois prototypes de récepteurs terrestres durant la première moitié de l’année et de pouvoir mettre à disposition des modèles finalisés lors du prochain Chaos Communication Congress, d’ici un an. Ces modules seront ensuite commercialisés à prix coutant avec un objectif de tarif idéal de 100 euros. C’est cet aspect économique qui a motivé le choix du système GPS (réseau appartenant aux États-Unis). « Nous utiliserons aussi Galileo [le futur GPS européen, NDLR] et Glonass [le système russe] », peut-on lire sur le site du projet. Mais tout cela est encore lointain…

[caption id="attachment_12236" align="aligncenter" width="606" caption="Les hackers du projet Hackerspace Global Grid prévoient d'utiliser un réseau de satellites amateurs en orbite basse. © Esa"][/caption]

La première étape consiste à « établir un système de synchronisation précis pour le réseau distribué » explique la page de questions/réponses du site Hackerspace Global Grid. Il s’agira ensuite de concevoir des modules récepteurs et un traitement des signaux reçus. Enfin, un protocole permettant l’envoi de données est envisagé mais rien n’est encore arrêté dans ce domaine. « Pour le moment, nous travaillons sur la réception des données » précise-t-on. Autrement dit, il ne s’agira pas dans un premier temps d’un Internet tel que nous le connaissons, mais de quelque chose de plus rudimentaire. « Pensez à des mises à jour Twitter, pas au streaming vidéo », préviennent les promoteurs du projet pour qui le postulat de base est de « rester connecté » afin de pouvoir communiquer, « informer et rester informé ».

Source: futura-sciences.com


mercredi 11 janvier 2012

Des fouilles archéologiques menées dans le Yucatan remettent en cause le 21 décembre 2012 (INTOX)

!! informations fausses ou trompeuses !!

 

Des fouilles archéologiques menées dans le Yucatan viennent de mettre à jour une nouvelle roue calendaire maya. Elles remettent en cause la date de fin du monde prévue initialement pour le 21 décembre 2012.

[caption id="attachment_12219" align="alignright" width="257" caption="Achetez sur amazon.fr cliquer pour voir la source"][/caption]

C'est à partir de l'étude d'une roue calendaire déjà connue que les plus éminents spécialistes avaient pu prédire la fin du Monde pour le 21 décembre 2012. Or l'examen comparatif minutieux des deux artefacts du Yacatan révèle de subtiles différences que les archéologues viennent d'interpréter sans ambiguïté. Philippe Dubonchoix, radio-archéologue au "French Archeological Center for Excellency" (FACE) nous explique ses analyses bien désifnormées : "la roue calendaire récemment exhumée est le tome II du calendrier maya, qui couvre la période du 22 décembre 2012 au 31 mars 3050".

Une découverte "étonnante et étourdissante", selon Philippe Dubonchoix qui n'a pas voulu nous en dire plus. Néanmoins, selon la rumeur, les spécialistes supputent qu'il pourrait exister deux roues supplémentaires, qui nous conduiraient jusqu'en 5126.

La fin du monde n'est donc pas pour 2012.

Source: desinformations.com